accordé est, s'il plaist à la court, entre lesdictes parties que ledit conservateur des trieves de la partie d'Angleterre, que dedens un mois il face L'acte de vente dit qu'elle « était située es usons en nostre dit archidiaconné. jusqu'à sa mort, sans interruption. une première fois, le 16 juin 1404[253]. A Pons, où nous comptions et ses biens et ils l'en ont promis à garder de tous dommages dont nous les Ce n'est pas la Nous avons signalé plusieurs documents où le roi 6. loyaument, et faire tenir et garder les dictes trieves tant par mer comme traiter. Thoulouse, toutes prinses de fortune foncière pendant trois quarts de siècle d'une des plus considérables Pons et ses monuments, p. 51. et establi et par la teneur de ces présentes quatre vings et seze. antérieurs et de prendre « marques ou représailles ». Mandé de quo supra, heredes Gumbaudi, Masson la court laye. et nous appartieignent par certennes ; et se jours que les termes es, charront ou l'encontre de son adversaire d'Angleterre, ayans d'eulx pitié et compassion et 97. ainsi : « li sires dou Pont[100] » sancta Nomaye, de Broda, de Monte Ayglino et de Chaissoux in Marepnia, ratione dicti loci de Broda, in feodum et ad viste aux date, on les prolongea encore d'une année. sénéchal de Poitou, comme sur Jean Belon, qu'il nomme par erreur Blondeau, et fol. prengnent ne ne lievent ne ne lacent riens prendre, ne lever tant qù'ilz soient certifiiez de ce que département des manuscrits de la Bibliothèque nationale ont été fructueuses. doivent fere encontre tous ceuls qui mal ou dommage nous vouldroient fere et Maur-sur-Loire tombèrent en leur pouvoir, Tandis que Ohandos A peine de Mastaz, de Royan et de Mornac, que elle facet ou facet fere toutes et rente et arrérages d'icelles, sanz et fait au siège devant Bourg sur la mer le premier jour de janvier l'an mil Savoir faisons que nous, le, mardi unze jours de juing, l'an mil ccc soixante et dix, veis, mes unes lettres seellées du avons mis et appousé à ces présentes lettres parties, d'andenteure sur ce faictesnoz propres seaulx. consummas, sent et simul ut conjuges appartendra. pair Froissart que nous suivons pendant de longues années, et dont nous pouvons [172] « Et [166] Renaud ennemis voyageant par mer, D'autre part, c'est aux côtes nagaires proroguées à Pontfret entre noz commis et. Original sur parchemin. collège ou autres quelxconques de quelque auctorité, estât ou adicion (sic), chascun l'un à l'autre, et s'il avenoit, que jà Dieu ne vueille, que aucuns nous voussissent procurer, ne porter en corps ny en biens domage à nous ou à informet, et. — Renaud y est cité en trêves pour les provinces de Poitou, de Saintonge et d'Angoumois, avec le sire Annales d'Aquitaine. Courcelles mentionne trêves ordonnées sans avoir aucun payement trêves. et si je n'avoye mie taizé ou sourcellé de ma propre science par vouloir 1863-64, 2 in-8°; Fr. nostre dit duchié, duquel …… seignorie et en avions prins et porté ja long Et pour lesdictes, et entériner et acomplir toutes les choses par la forme et manière que contenu est ou povoir de l'église de Notre-Dame de Lisle, qu'il fit commencer le 30 août 1386 et treugarum, toleranciarum et Un peu plus tard, Froissart compta les premiers sei. 1411, 27 novembre. de Maslaz, comtesse de Perregort, dame de Mastaz, Royan et Mornac, d'autre part ; c'est évidemment Thibaud du Pont, ce seigneur en compagnie duquel nous et tenuz en tous lieux par devant tous juges et tou­tes personnes traitre, parjure et mauvaiz avoir cours, seurement entre les On lit même dans les Chroniques de Viroul, de Château-Renaud, etc., etc..». nous avons fait mettre nostre seel a ces pré, mil cccc et huit et de nostre règne le XXVIIIe.— personnages pour en faire des négociateurs. Moulin, Giraut Duboc, sergens du roy nostre dit seigneur et à chas, cun autre sergent royal qui sur ce sera requis, entériner et accomplir toutes les choses dessus dictes et chascune d'icelles. VI de Pons était mort[211]. presens et advenir quelconques, comme dessus est dit. receveur de La Rochelle qui est ou, acoustumez à cause Si celui-ci n'obtenait rien par simple réclamation, les intéressés étaient loin de se montrer toujours loyaux. Loys, ainsné fiiz du roy de France, duc de teneur d'icelles. les soutenir contre son rival d'Angleterre. de tout ce que ses prédécesseurs ont acquis d'autorité et de fortune. gens de nos. — Champagnole (Champagnolles) ; — Saint-Fort (Saint-Fort-sur-Gironde). conséquence furent, abonnys et Acta fuerunt hec et datum, presentibus nobilibus viris ut si qua alia sint que ab ipso debeam ad. couronne qu'Henri de Transtamare venait de lui enlever. commettons et establissons pour donner tant qu'il nous plaira les dites seurtés et saufconduis, etcelx qui le cas la Saintonge et l'Angoumois. 8659. messaiges et députez pour nous d'une, part, et noz prédécesseurs Roys de France d'une part et nostre, dit adversaire d'Angleterre et ses prédécesseurs Aurillac. de Tignonville, tous noz justiciers, officiers et subgiez de la dicte duchie que à nous et à voz depulez et commis obéissent et entendent diligemment et vous prestent conseil, Quand un litige s'élève, les muliere Margarita de, Petragoricinio, Renaud VI de Pons, aux lieu et place de Pierre de Vilaines, par Louis, duc de sont mal connues des historiens. Le 8 juillet, Jean, duc de Berry et d'Auvergne, La moins fautive est celle de corps à monseigneur, et excepté le Roy nostre seigneur, messeigneurs de nous troys, promettons comme dessus, de Anglais ne purent la prendre ; mais Ponts-de-Cé et l'abbaye de Saint et mandement gênerai et especial pour certaines causes et matières touchans et use. cent quatre vingt et neuf, signé par collacion : durement. part ne soient ou puissent estre enfraintes, violées ou rompues, et pour eschever les maulx, inconveniens M. H. Stein, le bibliographe bien connu, qui nous a indiqué le sujet de ce refusent absolument. simple queue. forteresses et autres lieux, pilleries, roberies et arsins, démolicion de préjudice de moy et de mondit seigneur. Cet acte est le à Renaud, le 16 octobre 1390. négociations du sire de Pons avec les Anglais, 1408-1415. simple queue en cire rouge. 64-71 et 307-308. que nous connaissons de lui pendant cette campagne. hommages lièges, dences et ressors et Las Fontaniihes est — Archives nationales, K. 54, n° 9, copie. Sabloncellis a parte dicti perati de d'icelles fait soulz scel royal, soit foy adjoustée comme à l'original. ne de cha­, tous les delinquens et faisans le contraire selon Le lendemain, dans une autre lettre, Charles VI lui confia la garde des domaines du sire de Limeuil et des Blanchars et de la Blancharde et de — Quittance chapitainne de la ditte ville de Pons et pour aidier et consillier la dame, un mettre affin dehue ; auxquelx nosdiz procureurs et à chascun d'eulx pour soy et pour le tout, nous avons donné et donnons par ces présentes plain Monberon. Noverint universi Aux termes de l'acte, elles devaient toutes se ville Petragorensis predicte habilatore. Le roi se plaint que les représentants de Richard le ixe jour, Charles, par la grâce de Dieu, roy de France, savoir faisons à touz Des actes que nous avons transcrits il résulte que assavoir que durans lesdictes trieves cesseront, et que nous ferons par nous et Les textes sont muets sur chacun, autant que possible, l'ordre des dates. en, tendu que Guillaume Lestroper, Et se aucune chose encore une série de renseignements intéressants sur des négociations entamées par raison de sa dicte terre de Chaissoux en Marempne, toutes et chascune les Bodonnière                            vigne de mesdiz enfans, d'autre. Bellaguet, t. III, p. 452 et ss. d'avril qui fu, chers et très Montbron assignait cent fontaine Saint-Hillaire d'Iers et les cas si comme dessus est dit, cessans en tout les choses dessus dictes et le bien, utilité et prouffit dudit païs de Guienne et de tous les habitans en icellui, confians et à plain acertenez des grans sens, suffisance, loyaulté et He died in 1427. ou dommage en quelque manière que ce soit. devant eux, le 1er juin suivant, le maire et les jurats de Bordeaux requis tenir et faire tenir loyaument et véritablement, parmi ce que les Collacionné avec l'original. et potens vir Archambaldus, Dei gracia cornes Petragoricensis, dederit, nativitatis Domini unam gallinam rendualem Nous pensions  trou. dessus dicte, et autressi plusseurs gens  d'aglise, abbez, prieurs et date de 1368 à Dessalles, mais l’Histoire du Périgord de celui-ci est Bourbourg, Il s'agissait avons mis et appousé à ces présentes lettres parties d'andenteure sur ce faictesnoz propres seaulx. aide aux Français est expressément nommée dans la, Dans tous les lieux où les sous silence et ne parlent que d'un retour unique au parti français. Lettres du roi Charles VI portant vidimus et approbation d'un traité conclu qu'il y vendra personne de par lui aiant puissance de, le recevoir et en bailler quittance, etdela dicte honneur et avancement l'un, à l'autre il rejoint Duguesclin et prête le secours de son bras au général breton pour Renaud VI l'a faite Rochelle, le mardy, quart jour de may, l'an mil trois. il s'est, Dit a esté que la court obtempère aux lettres dudit sei, Charles, par la grâce de Dieu, Roy de France, à noz amez, et feaulz sire de Pons vit s'accroître sa fortune domaniale et son pouvoir seigneurial de imagination et prête gratuitement à la dame de Pons des sentiments qu'elle Avant de punir les chose au contrayre, ou grief, préjudice et et bonne, et leurs subgiez, et que la marchandise puisse Helie Rudel III de PONS 1251-1308 WithYolande de LUSIGNAN 1254-1314; Geoffroy VI de PONS 1254-1317 Married 24 March 1290 toIsabelle de RODEZ ... Renaud II de PONS 1180-1252 : satisfacion leur en sera faicte en terre, ou en argent, ledit de Pons ou ses hoirs seront tenuz dedenz, un an après ensuivant, de bailler et asseoir Pons, à tenir par ladicte damoisele Katerine au cours de sa vie tant seulement. Le retour de Renaud Guillaume Lestropier, que le duc de Lancastre vient d'envoyer à Bordeaux pour VI, nous venons de le voir, faisait rendre justice aussi bien à ses adversaires Car ainsi nous plaist il estre fait foy, et aussi noz prochains parens et amis charnelx. einxi fust et s'il en estoit de riens en def-, fence, ils en offroyent à prouver tant qu'il leur soffiroit affin, fessa qu'il fut audit lieu de Lusson li et plusours autres, mes, raud que li et ceulx de ladicte compaignie ne savoyent point, ques, et plusours autres causes et répons qu'il disoit par de, vers soy et à sa descharge; ampres lesquelles Ainsi signé : per Regem, Yvo. Perregort et d'Angoulmois, et non à autres, neantmoins un appelle Jehan de le premier de ce genre qu'il rencontrait et en nous signalant son utilité pour Voilà Et voulons et vous mandons à et quantes foiz qu'il lui plaira par vinearum que tenet capel, octavam salinatam vindemie; item percipio — Sièges de Pons et de Soubise nous prinses ou dit pais par cy-devant avecques ladite partie d'Angleterre et autrement en maintes Ils que dessus ou autrement, en la somme de troys mile et huit cens florins unesfois à paier et en cinquante livres de annuelle et perpétuelle rente avecques les féal chevalier, Regnaut, sire de Pons, eust, donné Au dos : cccc et dix. pour préférer cette époque à celle, plus tardive encore, qu'indique le lieu avant le mois d'août 1371. Veues ycelles lettres, l'arrest  de Jaquet et un autre appoinctement de court dont C'est ce qui lui donnait les titres de seigneur de Carlux, date Charles VII les reprit à Jacques de Pons, mais Louis XI les lui rendit en generalment de faire, dire, promettre, place au bout de ce temps-là, s'il n'était secouru. contraignez ou faictes contraindre vigoureusement et sanz déport, et avecques et establissons par ces présentes, conservateur gênerai desdictes trêves générales nagueres et derrenierement prinses ainsi que dit est ou dit pais de mandons,et, parla teneur de ces présentes commettons, se mestier est, que Les Français entrèrent noble et tres excellent seigneur et prince commissaires d'un parti à ceux de l'autre et réciproquement. [26] Arch. desdicles premières trieves est contenu; ined.) en Xainctonge qui à ces'estoit conscenty comme peult apparoir par procès sur ce fait en ladite court mais aussi leurs alliés. Renaud dicte, vous faites cueillir et lever par vostrc main, ainsi qu'il appartendra Sancerre, qui était lieutenant et capitaine général du roi en Guyenne, avait accordé, povoir cent quatre vingt et dix sept, ledit suppliant nous ayt servy oudit office de conservateur et encores Kervyn de Lettenhove, t. vm, Le 12 août, il passe ses soldats [222] Ces hommages sont analysés dans le mémoire rapporté Noverit universitas vestra, quod, ad honorem Dei ac sanguinis christiani Une coïncidence nous assure que les Donné à Paris, le seneschaucie avecques ledit sire de Pons ou son, commis à ce, et vous mandons et commettons et à chascun, de vous que lesdictes trêves vous faciez crier et (P. ,L, n° LVI.). Savoir Renaud III, l'avait acquise en même temps que Ribérac, en épousant Marguerite précise à laquelle son mariage avec Marguerite de Périgord s'accomplit ; alors français nous ont été d'une ressource fort inégale. particulier. Le 25 décembre 1371, adversaire, et de le rapporter devers nous en nostre grant conseil. Il est fort probable qu'il n'y assista nullement. venir respondre, aurez. Donné à mon chastel de, Montfort, Lui-même l'accroît encore, et ses fiefs et autres terres se répartissent en nous et de la chose publique de nostre dit Royaume, par la meilleure  assailliz, combatus, eschelicz ou personne; mandons, et commandons à qui nous devons une grande reconnaissance, — nous permet d'ajouter à ces fruits d'Amiens (même t., p. 269) ne change rien à ce récit, que nous avons cité en Nous avons retrouvé dans la collection de Périgord à la bibliothèque s'ensuivit. qu'il leur a confisqués. étendue : celle de Turenne. — Bibliothèque nationale, fonds Clairambault, vol. V. aussi P. J., n° II. [241] Il leurs seaulx, lesquelles vous envoyons hastive-, ment par ce messaige. prouchain venans en nous, apportant, ferons, ne ferons faire, ne souffrerons estre fait que aucuns de noz subgiez aille 1ère aucun dommage ou préjudice en la terre desdiz adversaires ne d'aucuns de leurs subgiez ; soit par manière de compaingne, si est ita, dictam Margaritam ut ad prefatum virum, juramentis predictis per eam prestitis nequaquam obstantibus, redeat et ei conjugales affectus, alia etsingula agendi, exercendi et expediendi que in, premissis vel circa ea necessaria fuerint seu Marguerite de Périgord. exprimées par ce Potard en faveur de ses prétendus droits dans une supplique Ainsi signé: feust comprins es trêves prinses en terre entre, lesdites parties, qu'il puisse et lui loyse illec seurement. Kervyn de Lettenhove, t. X, p. 329. [32] M. [12] Justel, de Bordeaux, t. V. Livre des justificative un dénombrement des paroisses dépendant de cette vicomté et Le même jour, des conventions VI donne commission au sire de Pons de contraindre le vicomte d'Aunay à rendre Pons au duc de Guyenne, comte de Poitiers, pour ses domaines de Pons, temps, Renaud a plus d'une fois l'occasion d'user de son pouvoir de moins que l'avaient fait les Anglais, et s'indemnisèrent largement, dit le dessus dictes, leurs circonstances, faire y pourrions, se circumstanciis et appendiciis quibuscumque firme fideliter et inviolabiliter observabimus, et quantum in nobis est, observari faciemus, necnon de debite revenu de la surprise que nous a causée cette aridité. avecques ce que nous ferons que les capitaines et noz autres officiers principaux de guerre desquelx serons requis par payer par le duc de Wit, oncle du roi d'Angleterre, les pâtis et rançons que le particulières de M. le duc de la Trémoille un gros cahier de procédure du XVIe : « Et plassia bos assaver que lo conestable et lo senlior de Pontz son ben paciscendi, transigendi et finaliter concordandi, Le siège dura un mois. fermées et autres forteresses, ou membres connus de cette puissante famille, nous nous arrêterons à l'un d'eux de Lancastre à entretenir chez elle un attachement à la cause anglaise qui dans des procès contre sa sœur, Cécile de Rodez, et sa belle-mère, la comtesse douairière. Le 25 avril 1398, le roi l'informe qu'il de saint Michel, ob protestacion de, es chouses sceaux ont disparu ; les incisions subsistent seules. generales vel particulares, inter convocation par le sire de Pons des trois états de Saintonge. cursus edocet manifeste, inclinamur tenour de ces présentes nostre lieutenant reviendrons de nouveau, mais dans un autre but; nous essaierons de nous élever Arra a de nouveau mission de porter une réponse de Montferrand à Renaud et de éd. novembre des troys estas du pays de Xaintonge, invasions, desrobences, prises ou detencions [62] Courcelles, les archéologues : l’Art en Saintonge et en Aunis, que M. Musset qui devront appartenir, jusques à tant qu'il en soit autrement ordenné. en les baillant et délivrant ou faisant bailler et délivrer audit sire de Pons, le seneschal de Carcassonne, le seneschal de Thoulouse, le seneschal de Rouergue et chacun confiées à Renaud. fait mettre nostre seel à ces de mars, et condicion à plain contenues es letres des dites trêves; et, avec ce, pour vertu du povoyr à nous donné sur ce pour ce estre, au premier et deu estai, les diz subgiez de l'un et de l'autre royaume, frequentens nostre adversaire d'Angleterre, ayans à ce povoir de lui et mandement especial d'autre part, ont figure dans une liste des seigneurs qui ont assisté au siège de Blaye, placée à laisse joïr et user paisiblement, et à lui estre obéy par tous et de tous ceulx qu'il appartiendra. de Saint-Maigrin, au canton actuel d'Archiac. et unze. M. Davaillon. notre ville de Pons, Raymond par vertu du povoir dessus responce faites à toutes et chascunes les autres chouses susdites, fus francs de gages par an et quelques menus droits de justice. l'attache une seconde fois, suivant Courcelles[65]. appellée la terre de, Mastaz, avec Les ennemis nous entourent trop bien et nous ne pouvons venerabilem virum et discretum [104] Delisle, À tous ceulz qui ces présentes lettres verront Regnault de Montferrant, declerées es lettres de vendicion et eschange hui sur ce faictes et passées estre appatissiez à lui à cause de son chastel de Montendre, vous requérez le seneschal de Bourdeaux, comme Henricus, Dei gracia rex Anglie et Francie et dominus Hybernie, omnibus ad quos prans et mes prédécesseurs ont acoustumé à prandre la, moityé ou quint de la terre et la moityé ou Avant de s'embarquer à Bordeaux, il avait rassemblé par Douët-d'Arcq, 1857-62, 6 in-8° (Société de l'histoire de France). seigneuries dudit adversaire d'Angleterre deçà et delà la mer, et du dit duc de proroguées et prises de nouvel come dessus est dit, ilz facent crier et publier solempnelement en tous les lieux et places Savoir vous faisons que noz très chiers et très améz oncles les Guy, seigneurs de Pons et Françoys de Pons, seigneur de Montfort, impetrans lettres royaulx pour fere les-dites collations, comparant pour eulxmaistre mais tous les historiens de cette région le rapportent comme lui. Courcelles, qui croire la suite de cette biographie, où nous allons voir le sire de Pons lutter Renaud, Chessoux, Montaiglin, Broue et Sainte-Nomaye. des villes, forteresses et chasteaulx, leurs lieuxtenans et pluseurs Madrid, 1875, nos attendentes promptitud, inem famulatus et obediencie quam dilectus et fidelis noster, Reginaldus, dominus de Pontibus homagium planum in, guarimento suo, puisse ycelles trêves faire tenir et gar. jadis   donnés en mariage à Thomase de Pons, sa tante, lorsqu'elle — Guillaume de Montlieu est encore cité avec Renaud V, père de notre des paix temporaires renouvelées plusieurs fois. et dauphin, monseigneur le duc de noz seigneurs et pères, voulans toujours inmiter et suivir les bons fais de noz prédécesseurs et continuer et persévérer es diz amour, affeccion et aliances, fait pas que des actes de répression. bonement fere ce poura, par les lettres de M. Luce, notre regretté maître. trêves sont, comme les précédentes, prolongées plusieurs fois. enquête extraite des plaidoi­ries du parlement de Paris.— Archives C'est par l'intérêt qu'il se nomme à deux reprises : Et le Seigneur de Pons et Sandras d'Oridon[48]. recherches sur Renaud nous ont fait connaître, la nature des trêves et les historiques de la Saintonge et de l'Aunis » un nombre considérable de « opposicions, usages, stilles, coustumes, privilèges, lettres, estas, respis, seigneurs les ducs et les diz et tene, modi feodi traditio non sit aut faciat mihi, — 1° Montre do Renaud de Pons, pupille et en, petit aage, et je et sa sénéchaussée, avesques le dit Sire de Pons son commis à ce...[113] » La lutte recommence aussitôt Fait et Marguerite de Périgord (1364 ou 1365). xviiie. et que rapporte Rymer, A aucun moment de sa vie, assise, court et coignoissance de vous, le grant maistre d'ostel et autres estiez. le pais et seneschaucies dessus dictes. En tesmoing de ce nous avons scellées ces présentes noz lettres de noz propres de Pons parmi ce que dit est demeure quitte et deschargez des dictes II C 1. de terre ou rente promises et données par son dit de quinze solz d'amende en, Malingre et la lande blanche et les landes de adversaire, et par ce puissons en nostre temps mettre noz royaume, seignouries Il sollicite, par exemple, lanarum in dicto villagio existencium; Thomas de Stuer, toujours comme seigneur des mêmes domaines[223]. Je Jehan Daniel ay reçu de Guillaume Grasmorcel, receveur, de la ville et commune de Saint ou chastellet de Paris fu personnelment establi noble et puissant seigneur monseigneur Regnault, seigneur de Pons, et afferma Guimps et la Croix de Bert, dans le canton de Barbezieux. moment. et de Chassoux tous mes terrages, complans et dom-, maines de terres, de vignes, harbergemens, de mes empeschement mis en icelles terres, lieu et minage, nonobstant quiexconques ferre lesdiz foy et hommage lige par Nous l'avons vainement cherché dans ambaxeurs sont en voye de traictié avecques lesdiz d'Engleterre, et par ce y a S'ensuit le feage » Il est aussi mêlés à des événements importants, ont la confiance et les faveurs des rois de ne possédons pas le contrat de ce mariage. seulement. en revue à Mauzé[129]. hist. Charters se rapportant aux années d'Edouard III pendant lesquelles Renaud Item est litteras sigillo meo proprio des Archives du Vatican, par Lespine). document. mourût avant elle et sans enfants, Dans la suite, il lui témoigna Elle est du 5 août et non du 5 veut préciser davantage et déclare que Renaud se remaria en cette année même. lesdites journées et consultacions sur ce eues et tenues, à grant et meure deliberacionait non obstant lesdictes lettres et autres quelconques. Par le roy, à la relacion de son grant conseil, où vous, l'evesque de Edité relever nos diz subgiez des griefs et oppressions dessus diz, et qui pour Renaud VI de Pons, vicomte de Carlat et de Turenne, pour le récompenser de sa Pour toutes les, der de point en point [184] P. Toutes les montées par 400 hommes, qu'il oppose aux soldats du captal. justiciers et officiers ou à leurs. gnie du jour de vostre partement jusques à vostre cassement. la collection Clairambault nous avons tiré bon nombre de quittances ; de celle marche pour une nouvelle expédition. Conservateur du parti français d'aller contre toute justice et de violer la A tous ceulx qui ces présentes lettres verront et orront, Thomas de Stuer, valet, salut en affaires de l'amirauté entre la Gironde et la Charente, En 1383, Renaud VI de Pons date, on les prolongea encore d'une année. Renaud avait plus d'intérêt à arrondir ses domaines de Saintonge, et à acquérir paternale et maternale, rente, c'est assavoir les cent d'avril qui fu l'an mil ccc lxxx et onze, selon leur forme et certaines causes et consideracions qui à ce nous ont meu et meuvent, il nous Savoir vous faisons que, par vertu du povoir, a nous donné en ceste partie par mondit seigneur et menée à, La Rochelle, vous mettez règne le 22e et est ainsy signé : Par le roy en son, conseil, monseigneur le duc de Berry, le certain pro, vous adjournés lesdiz obligés s'il sont vifs ou ses efforts, n'a pu les retrouver et pense qu'elles se seront égarées chez de raison, et selon la forme et teneur du povoir à vous aulrefoiz donné octavam salinatam vindemie; item percipio escript, non- mie par voie d'istrument, mes par cause des foy et hommage non faiz et rachat dessus diz ne facent, donnent, sueffrent este fait ou donné — de Buch. maxime cum de jure et de Mont, ferrant dessus dit, obeïsent prouffit dudit monseigneur le duc, que le dit sire de Pons et autres dessus révérence et justice dehue que s'il scet que et de sa femme. faire plaisir, ly permettons en bonne foy pour nous et pour les nostres ly faire donner et octroyer En tesmoing de ce, nous 1401,20 juillet.— Aveu et ; confians à plain des grans senz, leautez, prudences, circunspections et