Roman proposait comme modèle Jean-Baptiste-François-Joseph de Solre (1686-1737), cinquième duc d’Havré et de Croy, grand d’Espagne, mais, initialement destiné à l’état ecclésiastique, Jean-Baptiste était à cette époque chanoine à Cologne et n’entra au service du roi de France qu’à la mort de son jeune frère, Charles-Antoine-Joseph, tué à Saragosse. Les autoportaits peints par l’artiste tout au long de sa vie seront particulièrement mis en valeur. dans. Karlsruhe, Staatliche Kunsthalle. Hyacinthe Rigaud (?) HYACINTHE RIGAUD (PERPIGNAN 1659-1743 PARIS) Portrait d'homme huile sur toile, non rentoilée 81,4 x 65 cm. Copyright © 2016 - tous droits réservés - Mentions légales - Conception Zeste d’Idées. De de Troy à Rigaud et de Rigaud à Gamelin n'y a-t-il qu'un pas . Les Amours de Mr Hubert Descrours avec Mademoiselle Marie F.... Mémoire contre Rigaud et autres peintres privilégiés - 10 septembre 1693, Sur le portrait de l’abbé de Rancé par Rigaud [Mémoires de Saint Simon, 1696], Lettre d'Hyacinthe Rigaud à Gaspard de Gueidan - 7 juillet 1724, Lettre d'Hyacinthe Rigaud à Etienne de Lieutaud - 12 février 1725, Lettre de Mr Equisier à Etienne de Lieutaud - 15 octobre 1721, Lettre d'Etienne de Lieutaud à Gaspard de Gueidan - 7 juin 1723, Lettre d'Etienne de Lieutaud à Gaspard de Gueidan - 30 septembre 1723, Un jeune militaire selon Hyacinthe Rigaud, Histoire de ricordi : quand les petits formats célèbrent Rigaud, Le beau Rigaud de la vente Ader ou le goût ecclésiastique. Nantes, musée des Beau-arts © photo Stéphan Perreau Ancienne collection Sarasin, banque Suisse. Rigaud pinx. De nombreux chercheurs ont attesté qu'il s'agissait en fait du riche fermier général Bauyn de Cormery, collectionneur illustre. Pour la première fois, l'auteur propose le catalogue exhaustif des oeuvres du grand peintre français Hyacinthe Rigaud (Perpignan, 1659-Paris, 1743) : plus d'un millier de numéros organisés chronologiquement, tous rigoureusement étudiés, dévoilent bien des aspects méconnus du portraitiste des élites européennes, à travers peintures, dessins, répliques, copies et gravures. avec des références non bibliographiques qui relèvent souvent de la sphère privée. « Jean le Gros (1671-1745), à l'image de Rigaud », Le prévôt et les échevins de la ville de Paris…, Pierre-Frédéric Léonard, Marie-Anne des Essarts et leur fille, Marc-Pierre de Voyer de Paulmy d’Argenson, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Catalogue_des_œuvres_de_Hyacinthe_Rigaud&oldid=169915927, Article contenant un appel à traduction en italien, Portail:France du Grand Siècle/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Milan, Civico Museo d’Arte Antica, Castello Sforzesco. Stéphan Perreau, « Rigaud particulier », L’Estampille-L’objet d’art, École nationale supérieure des beaux-arts, Hans Johann-Balthazar Keller vom Steinbock, Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, Louis-Joseph Adhémar de Monteil de Grignan, Charles-Auguste de Matignon, comte de Gacé, Paul de Beauvilliers, duc de Saint-Aignan, Louis-Urbain Lefevre de Caumartin de Saint-Ange, Marc-René de Voyer de Paulmy d'Argenson (1652-1721), Joachim-Joseph d’Estaing du Saillant du Terrail, Joseph Jean-Baptiste Fleuriau d’Armenonville, Le prince landgrave de Hesse-Cassel, le cadet, Dominique-Claude Barberie de Saint-Contest, Emmanuel-Théodose de la Tour, duc d’Albret, Suzanne Henriette de Lorraine, duchesse de Mantoue, Marie d’Orléans de Longueville, duchesse de Nemours, François-Louis Rousselet de Châteaurenault, Marie-Anne de Bourbon, princesse de Conti, Alexandre-Étienne-Raoul-Claude de Labadie d’Aumay, Alain-Emmanuel, marquis de Coëtlogon de Méjusseaume, Joseph Jean-Baptiste Fleuriau, seigneur d’Arménonville, Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil, Élisabeth-Charlotte von Wittelsbach-Simmern, duchesse d’Orléans, princesse Palatine du Rhin, Charles-Louis-Auguste Fouquet de Belle-Isle, François Joseph Henri de Nettancourt-Vaubécourt d’Haussonville, Paul-Hippolyte de Beauvilliers, duc de Saint-Aignan, Joseph-Hyacinthe Henri Xavier de Belsunce, Compagnie d'Occident et Indes Occidentales, Comte Philipp Ludwig Wenzel Sinzendorf (1671-1742), Charles Gaspard Guillaume de Vintimille du Luc, Marc-Pierre de Voyer de Paulmy d'Argenson, Jean-Antoine-Gaspard Grimod de La Reynière, Louis-Denis La Live de Bellegarde d’Epinay, Marthe-Marguerite Le Valois de Villette de Mursay, marquise de Caylus, Le prévôt et les échevins de la ville de Paris délibérant d’une fête en l’honneur du dîner de Louis XIV à l’hôtel de ville après sa guérison en 1689. Hyacinthe Rigaud (1659-1743), portraitiste du Grand Siècle UN PREMIER CATALOGUE RAISONNÉ EN LIGNE Bienvenus sur le premier site numérique entièrement dévolu au peintre Hyacinthe Rigaud. Stéphane Perreau, Hyacinthe Rigaud, Catalogue concis de l'œuvre, Nouvelles presses du Languedoc, 2013, N° P.701, p. 162 Après des formations successives à Carcassonne et surtout Montpellier et Lyon, Rigaud arrive à Paris à 1681 et y remporte le prix de Rome de peinture en 1682. « Le Roi en pié et debout ; la tête fait en 1727 », Grenoble, musée des Beaux-arts. Stéphane Perreau, Hyacinthe Rigaud, Catalogue concis de l'œuvre, Nouvelles presses du Languedoc, 2013, N° P.701, p. 162 Après des formations successives à Carcassonne et surtout Montpellier et Lyon, Rigaud arrive à Paris à 1681 et y remporte le prix de Rome de peinture en 1682. Nous tenons à rappeller au lecteur que, dans un soucis pratique d'équité, ce site n'a pas vocation à fournir gracieusement les images à des tiers ; les droits afférents aux illustrations ayant été négociés au préalable à titre exclusif pour ce site, auprès des collectionneurs privés et des institutions publiques. 1995), "Hyacinthe Rigaud, le catalogue raisonné" (nov. 2016, éd. Bien que Roman identifie ce portrait comme étant François de Monestay, il semble plus logique d’y voir son fils, François-Amable de Monestay (mort le 28 décembre 1719), marquis de Chazeron (1697) à la mort de son père, et qui fut chevalier de l’ordre militaire de Saint-Louis depuis 1695. Literature. Également la source directe de cet article. color: #746160; En cette année 1704, Roman s’orientait cette fois vers Michel Jolly, bachelier en Sorbonne (1677), sous-diacre, prévôt d’Ingré et prieur de Carembier (1701). } A. James-Sarazin, Hyacinthe Rigaud (1659-1743). padding: 0; Importante monographie consacrée au peintre du Grand Siècle Hyacinthe Rigaud dont le fameux Portrait de Louis XIV en costume royal de 1701 demeure un des chefs-d'oeuvre de la peinture française « À partir de cette année 1736, le manuscrit du, Mentionnée dans l'inventaire après décès, sous le. nous avons pris le parti de pas inclure dans ces rubriques : Cette décision nous semblait équitable afin de. Hyacinthe Rigaud ou le portrait soleil. Il se fait portraiturer arborant sa récente décoration de chevalier de Saint-Louis (D’Hozier, 1817. Il n’est pas étonnant de trouver en cette année 1706 un portrait, vraisemblablement en buste, de Christina Schrøder (morte en 1738), fille du bourgmestre Erman Schrøder (1615-1665) et d’Eva Motzfeld. II, p. 104, cat. 1671-1678 : Roussillon et Languedoc, la formation, Les aides de province : Viennot, Vialy et Cellony. J. D'un petit air de... Hyacinthe Rigaud, portrait d'abbé, v. 1690-1700 (détail). », Roman interprétait ce modèle comme « Frangois de Caillabot de la Salle, aumônier du roi : il fut évêque de Tournay de 1693 a 1705 ». Accompagnant la grande rétrospective présentée au château de Versailles, ce catalogue permet de découvrir un Rigaud inattendu, portraitiste fasciné par la peinture religieuse, peintre subjugué par la sculpture, excellant autant dans les effigies grandioses que … Hyacinthe Rigaud : Catalogue raisonné de l’œuvre par Stéphan Perreau - Catalogue Online Ex bibliotheca Antonii Moriau procuratoris et advocati regis et urbis. Le Catalogue des œuvres d'Hyacinthe Rigaud est la liste des tableaux actuellement connus du portraitiste Hyacinthe Rigaud (1659-1743) ; lequel a acquis sa principale notoriété grâce à son célèbre portrait de Louis XIV en grand costume royal, peint en 1701 . Roman y voyait initialement le portrait du père de Maximilian-Ulrich, ce que dément une lettre écrit par le fils à son père le 27 octobre 1698 (Archives du château de Bar-le-Duc, L’hypothèse de Roman, qui voyait ici un portrait de Charlotte Raisin, épouse de, Portrait mentionné au titre des copies de 1702 : Un buste de Mlle Castillon » par Fontaine pour 12 livres. Cette décision nous semblait équitable afin de rétablir la préséance de chaque découverte et d'éviter d'antidater systématiquement les découvertes de chacun, surtout avec des références non bibliographiques qui relèvent souvent de la sphère privée. La figure du peintre Hyacinthe Rigaud, né en 1659 à Perpignan, a été presque éclipsée par son chef-d’œuvre, le fameux Portrait de Louis XIV en costume royal peint en 1701 et reproduit dans tous les livres d’histoire. », Paiement inscrit aux livres de comptes en 1693 pour 128 livres et 10 sols («. Il fut fait, justement en octobre 1695, brigadier des armées du Roi. Collection privée. Paiement inscrit aux livres de comptes en 1698 pour 140 livres (« Monsr Cornet »). Il épouse, vers 1679, Catherine de Brévy. Son père, Charles, officiait également comme avocat au parlement et conseiller du roi. Faton / Château de Versailles • Château de Versailles - 78000 Versailles • Hors confinement, le Château est ouvert tous les jours, sauf le lundi et les 25 décembre et 1er janvier, de 9 h à 17 h30. Cf. Les autres sont ceux soumis à caution dont aucune source directe n'atteste l'identification certaine. Les annotations rajoutées d’une autre main que l’on y trouve çà et là et qui deviennent presque exclusifs à partir de 1736 sont sans doute de la main d’Hendrick van Hulst (1685-1754), ami et biographe de Rigaud, historien de l’Académie, sans doute le premier possesseur des volumes à la mort de l’artiste. ; 147.3 by 114.3 cm. Sur le nom de Materon, Rigaud reconnu son ouvrage : « le trait du portrait de Materon qu’on trouve placé dans une vie imprimée de Rigaud, quoique d’une façon un peu défigurée […] », « En restituant ce trait dans toute sa simplicité, tel que je le tiens de. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction . padding: 0 0 15px 0; Le catalogue … Le premier propose, année par année, la liste des portraits originaux peints entre 1681 et 1743 ainsi que les copies réalisées. Ariane James-Sarazin a également soutenu une thèse non publiée sur le peintre[réf. Dans une autre partie, il sera proposé au visiteur de découvrir le p… A. James-Sarazin, Hyacinthe Rigaud: Catalogue Raisonné, Paris 2016, vol. Deux versions manuscrites des livres de comptes du peintre Hyacinthe Rigaud sont conservées à Paris, l'une à la bibliothèque de l'École nationale supérieure des beaux-arts et l'autre à la bibliothèque de l'Institut de France. Le catalogue est précédé d'une biographie complète et d'une étude fouillée sur la clientèle, le processus de création, l'oeuvre et son évolution. Une section entière, spectaculaire, sera consacrée aux portraits de Louis XIV. Rappelons qu’en 1682, Rigaud avait déjà peint un portrait de l’abbé Joly pour 44 livres. MG 206 ; Voir la gravure correspondante et augmentée par Daullé en 1733. color: #ffffff; Il faut probablement comprendre « la fille de Madame de Franconville », Paiement inscrit aux livres de comptes en 1706 pour 500 livres («, Il s'agit du portrait en buste de Fleury, alors évêque de Fréjus, Commencé à l'hiver 1707, acompte reçu en 1708, achevé en 1740. C’est grâce aux récits de Hulst et de Dezallier d'Argenville que nous pouvons supposer la production du portrait du joaillier Matheron. À ce jeu, nous pourrions tout autant citer François Cornet, « conseiller du Roy, lieutenant au bailliage royale de Versailles, bailly de Marly-le-Chastel, prevost bailly juge royale de la prevosté de Noisy demeurant à Noisy, Conseiller de son altesse serenissine monsieur le Prince de Condé (1676) ». Mentionné au titre des copies de 1706 : « Une teste de la femme de l’envoyé de Danemark ». - les échanges privés que nous avons pu avoir avec les collectionneurs ou les experts en amont des ventes ou des publications de nos collègues. musée d’art Hyacinthe Rigaud / Ville de Perpignan © Pascale Marchesan / Service photo ville de Perpignan. Inv. Inv. « Rigaud crut d’abord qu’il le vouloit plaisanter, et lui dit : « En 1732, le peintre était réapparu avec un des plus beaux morceaux que, paraît-il, on eût pu voir, une grande figuration d’un sieur Matheron, joaillier, qu’il avait peinte quarante-neuf ans auparavant et qui devait lui être une de ses productions préférés », Roman ne faisait aucune proposition, mais il s'agit probablement de l’abbé Fayolle de La Ferrière qui remplaça l’abbé Thé du Châtellier, principal du collège de Rennes, alors démissionnaire (voir. P.292, reproduced. Roman identifiait ce personnage comme étant Charles-Augustin de Ferriol (1692-1737), trésorier receveur général alternatif de Dauphiné, conseiller, puis président au parlement de Metz (1718), comte du Pont de Veyle. Roman interprétait ce modèle comme étant Renée-Élisabeth Pucelle, fille de Pierre Pucelle et d’Anne Roujault qui n’épousa pourtant que le 4 février 1704, sur la paroisse Saint-André-des-Arts à Paris, Nicolas. Paiement inscrit aux livres de comptes en 1693 pour 120 livres («. et atelier, portrait de jeune militaire, v. 1710, collection particulière © d.r. Outil simple et pratique, il propose l'ensemble des productions peintes, dessinées et gravées par et … Il avait épousé, en 1676, Anne-Marie Des Essarts (morte av. Il s'agit de la seule liste publiée officiellement à ce jour[2], laquelle reprend celle d'Eudel, faite neuf ans plus tôt[3]. Daniel Wildenstein. Il s'agit plus probablement d'Augustin-Antoine de Ferriol (Saint-Chamond, 18 mars 1653 – Paris, 2 février 1736), comte d'Argental, receveur général des finances du Dauphiné, trésorier général du Dauphiné, président à mortier du tribunal de Metz en 1720. Son époux René II de Maupeou, vicomte de Bruyères-sur-Oise, était le frère de Louis de Maupeou qui hérita du marquisat de Noisy-sur-Oise. Property of DF Art Inc.HYACINTHE RIGAUDPerpignan 1659 - 1743 ParisPORTRAIT OF JOSEPH JEAN-BAPTISTE FLEURIAU D’ARMONVILLE (1661-1728), THREE-QUARTER LENGTH, STANDING AT A DESKoil on canvas58 by 45 in. Rigaud étant souvent sollicité pour commémorer des événements marquants, il dut plus probablement peintre les portraits de deux jeunes épousés depuis le. } (32 x 25 5/8 in.) Roman l’interprétait alors comme Edme Joly (1673-1697), prêtre religieux, supérieur des missions de Saint-Lazare à Rome de 1691 à 1694. no. (31 ¾ x 25 ½ in.) Aux originaux compulsés dans les livres de comptes de l'artiste, lesquels ont été publiés [ 142 ] et annotés par Joseph Roman en 1919, sous le titre de « livre de raison ». } Les œuvres sont classées par genre puis par année de production, lorsque celle-ci est connue, d'après ces livres de comptes publiés en 1919. Site d’actualisation, au jour le jour, de la monographie et du catalogue raisonné du peintre Hyacinthe Rigaud (1659-1743) par Ariane James-Sarazin. Hyacinthe Rigaud ou le portrait Soleil - Catalogue d'exposition. 1995), "Hyacinthe Rigaud, le catalogue raisonné" (nov. 2016, éd. L’interprétation de Roman comme étant le portrait d’Edme Ravau de Vielbourg, marquis de Myennes (1665-1720), lieutenant général au gouvernement du Nivernais (1697) ne repose que sur le travestissement du mot. Roman voyait par erreur Charles Le Fulzelier, seigneur de Cormeray près Bourges. 1728. Cette liste a été établie grâce à plusieurs sources primaires telles le Livre de raison de l'artiste publié en 1919 par Joseph Roman, lui-même établi d'après les manuscrits originaux des comptes de l'artiste. Organisée selon un parti à la fois chronologique et thématique, l’exposition s’attachera à décrire la carrière de Hyacinthe Rigaud, de ses débuts en Catalogne jusqu'à sa consécration à Paris. Mais n’oublions pas que le. Mais plus vraisemblablement s'agit-il de Jacques-Charles Cornet, « contrôleur de la maison de Monsieur frère unique du roi, duc d’Orléans, habile à se porter héritier de defunt Charles Cornet, son père, de son vivant trésorier des écuries de duc d’Orléans » dont le bénéfice d’inventaire apparaît le 29 décembre 1698 dans les archives des Yvelines (Y4076). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Roman n’était pas assuré de son interprétation et signalait simplement l’existence à cette époque de Jacques Cornet, marchand (mort avant 1722) et d’Adrien Cornet, avocat au parlement et aux conseils du roi. #vina-ticker-rss105 .header-block { Le second rapporte l’anecdote ainsi : « Quelques portraits commencèrent sa réputation ; son premier morceau fut le portrait d'un nommé Materon, joaillier, qu'il fit au premier coup dans le goût de VanDyck. (31 ¼ x 24 in.) Débat autour du livre d'Ariane James Sarazin (prom. Mais sans conviction. HYACINTHE RIGAUD (1659 - 1743) Portrait de jeune homme à l'habit brun huile sur toile, ovale, mise au rectangle 79,5 x 61 cm. Inv. Le manuscrit de l’École nationale supérieure des beaux-arts, quant à lui, semble être de la main même de Hulst. Une fois n'est pas coutume, c'est par la réapparition d'un dessin jusqu'ici inédit que l'on redécouvre une posture qui l'était tout autant, et qui fit... Atelier d'Hyacinthe Rigaud, portrait de femme. Le Catalogue des œuvres d'Hyacinthe Rigaud est la liste des tableaux actuellement connus du portraitiste Hyacinthe Rigaud (1659-1743) ; lequel a acquis sa principale notoriété grâce à son célèbre portrait de Louis XIV en grand costume royal, peint en 1701[1]. Pour des raisons de lisibilité, il a été mis en gras, les œuvres identifiées avec certitude. Roman proposait les effigies de Jacques de La Noue (1641-1711), Comte du Vair, Baron de Crenolles, Seigneur de Crazelles, Colonel, maître de camp d’un régiment de cavalerie, Brigadier des armées du Roi, Chevalier de Saint Louis époux depuis 1679 de Catherine de Vieuxpont, fille d’Alexandre, Marquis de Vieuxpont et sœur unique de Guillaume, Marquis de Vieuxpont, Lieutenant général des Armées du Roi, Gouverneur de Charlemont et Commandant au pays d’Aunis. • Catalogue d'exposition Hyacinthe Rigaud ou le portrait Soleil, éd. Faton), avec Dominique Brême, directeur du domaine départemental de Sceaux, dans le cadre du cycle "Les Mardis de l'École des chartes". Au dos de la toile : « Portrait du fameux François Girardon, sculpteur du roi Louis XIIII, Chancelier de son académie de peinture et de sculpture célébré par les excellents ouvrages qu’il a faict à Versailles et par le superbe mausolée du cardinal de Richelieu qui est à la Sorbonne peint par son ami Hyacinthe Rigaud, en 1689 à Paris. Ce dernier, voulant s'assurer s'il était de Rigaud, le fit porter chez lui. Hyacinthe Rigaud : Catalogue raisonné de l’œuvre par Stéphan Perreau - Catalogue Online « Hyacinthe Rigaud (1659-1743), portraitiste et conseiller artistique des princes Électeurs de Saxe et rois de Pologne, Auguste II et Auguste III », dans le catalogue de l’exposition Dresde ou le rêve des princes, la Galerie de peintures au XVIIIe siècle, Paris, RMN, 2003, p. 136-142. Hôtel des ventes de Montpellier, Bertrand de Latour & JC Giuseppi, 12 décembre 2020, lot. Mais ce modèle n'aurait eu que onze ans en 1703, ce qui dément cette hypothèse. La figure du peintre Hyacinthe Rigaud, né en 1656 à Perpignan, a été presque éclipsée par son chef d'œuvre, le fameux Portrait de Louis XIV en costume royal … max-width: 100%; 172 (École française de la fin du XVIIème siècle - Portrait de dame de qualité) © d.r. color: #3a68ac; ARIANE JAMES-SARAZIN (DIR) HYACINTHE RIGAUD OU LE PORTRAIT SOLEIL FATON Catalogue d'exposition Livre neuf. 2580. En 1684, Rigaud avait peint les portraits de ses parents, Antoine de La Loëre, échevin de Paris, procureur puis doyen des procureurs en la Chambre des comptes et Marguerite Boisseau pour 132 livres. Voir Ariane James-Sarazin, « Proposition pour une identification : le portrait présumé de Pierre Gruyn par Hyacinthe Rigaud », « […] la tête seulement, le reste n'a point été achevé », Apparemment deux portraits pour un total de 700 livres : «. Elle fut en effet l’épouse de l’ambassadeur du Dannemack, Henning Meyercroon (1685-1706), dont Rigaud peint le portrait en 1691. Huile sur toile collection privée. 1679), fille de Martin, marchand de draps de soye demeurant rue Saint-Honoré, Paroisse Saint-Eustache et d’Anne Liénard. 150 seront exposés lors d’une grande rétrospective au château de Versailles. S. Perreau, « Les portraits féminins d'Hyacinthe Rigaud ». La dernière modification de cette page a été faite le 23 avril 2020 à 11:13. Dans l'oeuvre d'Hyacinthe Rigaud, prêtres, abbés, prédicateurs, aumôniers, évêques, archevêques, cardinaux et autres hommes d'église tiennent, on le sait,... Hyacinthe Rigaud, portait de femme au portrait de son époux, v. 1700. Pour citer la source de ce catalogue dans vos bibliographies  : Stéphan Perreau, Hyacinthe Rigaud - catalogue raisonné de l'Œuvre en ligne, Zeste d'idées, 2016,  http://www.hyacinthe-rigaud.com, [mise à jour le... ], consulté le.... #vina-ticker-rss105 { }. Ces volumes passèrent ensuite à la bibliothèque de la ville de Paris puis, au début du Second Empire, furent légués à celle de l’Institut (nos 624 et 625). margin-bottom: 0; 1720 ; daté et signé : « Hyacinthe Rigaud fecit 1720 ». #vina-ticker-rss105 .vina-item a { Roman proposait l’épouse du médecin Jean Dervilliers. Catalogue Note This elegant portrait, which can stylistically be dated to circa 1605, beautifully displays Rigaud's hallmark ability to create realistic depictions of features alongside bravura rendering of material and texture. Nous voyons ici le portrait en buste de Michel, Mentionné au titre des copies de 1706 : « La belle-mère de. Le marquis de Saint-Ange possédait une belle collection d’œuvres d’art dans son hôtel de la rue Saint-Avoye : « Il aimoit, lui aussi, les tableaux modernes, surtout ceux de Rigaud, qui lui fit deux fois son portrait, et peignit aussi celui de sa femme. Ce portrait passa successivement au fils et au petit-fils du joailier. ». #vina-ticker-rss105 .vina-item { « La Vie de M. Rigaud par Henri Hulst lue à l’Académie », s.d., pub. Daté et signé au dos : « il conte Giulio Visconti Arese duc Re di Napoli Hyac. Qui servit de modèle pour le présent article. Les œuvres de l'artiste sont très nombreuses. Hyacinthe Rigaud, Louis XIV, roi de France, portrait en pied en costume royal, 1701, huile sur toile, 277 x 194 cm, détail, Paris, Musée du Louvre ©Wikimedia Commons Ce jour-là en 1743 est mort Hyacinthe Rigaud. Paiement inscrit aux livres de comptes en 1696 pour 300 livres (. C'est ainsi qu'a procédé le premier Joseph Roman, en 1919[4], suivi par le professeur George Ven Derveer Gallenkamp pour sa thèse soutenue à l'Harvard University en 1956[5]. 452. Roman pensait pour ce numéro à une demoiselle de Castillon, fille de Jean de Castillon, seigneur de Mauvezin et de Carboste, morte sans s’être mariée vers 1730. Hyacinthe Rigaud was born in Perpignan (Pyrénées-Orientales), the grandson of painter-gilders from Roussillon and the elder brother of another painter ().He was trained in tailoring in his father's workshop but perfected his skills as a painter under Antoine Ranc at Montpellier from 1671 onwards, before moving to Lyon four years later. HYACINTHE RIGAUD (PERPIGNAN 1659 - 1743 PARIS) Portrait d'homme à l'habit bleu huile sur toile 81 x 65 cm. Peint pour la réception de Le gros à l'Académie. Voir Marcheteau de Quincay, 2006. Grand portrait valant 3000 livres, extrapolé d'après le buste de 1706. Pour la première fois, les auteurs proposent le catalogue raisonné complet des œuvres du grand peintre français Hyacinthe Rigaud (Perpignan, 1659-Paris, 1743) : plus de 1500 numéros organisés chronologiquement, tous rigoureusement étudiés, dévoilent bien des aspects méconnus du portraitiste de prédilection des élites européennes, à travers son œuvre prolixe, peintures, dessins, répliques, … Bratislava, musée municipal. Collection particulière © cabinet Turquin La figure du peintre Hyacinthe Rigaud, né en 1656 à Perpignan, a été presque éclipsée par son chef-d'œuvre, le fameux Portrait de Louis XIV en costume royal peint en 1701, reproduit dans tous les livres d'histoire.