LES NOUVEAUX MINISTRES. Ce troisième mandat a été possible par un amendement de la Constitution en 2008, qui interdisait auparavant de briguer plus de deux mandats successifs. Le FLN détenait à l'époque la totalité des sièges du gouvernement et des autres institutions. Faisant suite à la loi d'orientation foncière de 1987, qui institue un droit individuel d'exploitation, cessible et transmissible, aux salariés des fermes d'État, la loi d'orientation foncière de 1990 annule la réforme agraire de 1971, restituant 400 000 hectares à leurs propriétaires et sans prendre en compte les bénéficiaires de la loi de 1987 [9]. C'est une première depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962. Avec son ministre des Affaires étrangères Mohamed Seddik Ben Yahia, qui meurt en 1982, il adoucit les relations avec les États-Unis, et voyage même à Washington rencontrer Reagan. Les groupes armés commencent à déposer les armes, surtout à Jijel à l'est et Aïn Defla à l'ouest. La nouvelle équipe de l'Exécutif est marquée par le départ du désormais ex-ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et l’annulation du portefeuille des Affaires maghrébines et africaines. La Liste du Comité de salut public obtient 35 % des suffrages exprimés, suivie de près par la Liste républicaine de concorde et d’action sociale pour la promotion d’une fraternelle civilisation qui obtient 30 % des suffrages exprimés. Grandeur et décadence de l'État algérien. Toutefois, celui-ci règne en autocrate sur l'Algérie, et doit, au terme de quatre mandats successifs, céder le pouvoir le 2 avril 2019 au nouveau président qui sera Abdelmajid Tebounne. Boumédiène démarre les « trois révolutions » : industrielle, agraire et culturelle et construit les bases d'une administration moderne et laïque et de l'État-nation algérien (il refuse ainsi un projet d'association avec la Mauritanie, proposé par les dirigeants de ce pays[14]). Abdelaziz Bouteflika décide de maintenir sa candidature et remporte à l'issue du scrutin l’élection présidentielle avec un taux de 74 %. Officiellement aucun lien n'est fait entre la demande française de maîtrise migratoire et le besoin algérien d'aide au développement, mais les tables de négociations sont interdépendantes [51]. Propos rapporté par le journaliste Akram Belkaïd. En 1993, elle inaugure le réacteur de Aïn Oussara, construit avec l'aide de la Chine [35],[34]. Abdelaziz Bouteflika, Ali Fawzi Rebaine, Louiza Hanoune, Mohammed Jahid Younsi, Mohand Oussaid Belaid, Moussa Touati. Cette page dresse la liste des chefs d'État de l'Algérie par ordre chronologique depuis la formation du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) en 1958, durant la guerre d'indépendance du pays, jusqu'à l'actuel président de la République algérienne démocratique et populaire Au mois de mai, faute de candidats, l'élection est reportée à juillet 2019, une situation jugée anticonstitutionnelle. Le 15 janvier 1995, Zeroual doit faire face à de nouvelles pressions diplomatiques internationales engendrées notamment par les accords dits de Sant' Egidio, signés à Rome par les dirigeants politiques de l'opposition dénonçant la mainmise militaire sur l'État. Le conflit déborde en France, avec le détournement d'un vol d'Air France en décembre 1994, puis la vague d'attentats de 1995. Instauration d'un régime à parti unique (FLN). Six mois à peine après son accession au pouvoir, il est assassiné sous les regards de milliers de téléspectateurs algériens en plein discours à Annaba, le 29 juin 1992. L'année suivante, il accueille le premier sommet de l'OPEP au cours duquel une politique commune est élaborée. Cette négociation regroupe plusieurs partis (Front des forces socialistes (FFS), Front de libération nationale (Algérie) (FLN), Parti des travailleurs (Algérie)(PT), et le parti dissous Front islamique du salut (Algérie)(FIS). Un Code de la famille est décrété en 1984 par l'Assemblée populaire nationale, présidée par Rabah Bitat. Une élection présidentielle anticipée est alors organisée en avril 1999. Mandaté par les pays non-alignés, il prononce à l'ONU, en 1974, un discours sur l'instauration d'un Nouvel ordre économique international (NOEI) qui fait date. Une loi de réforme agraire est promulguée en 1971, Boumédiène tentant de briser le système féodal du khammessat, sorte de métayage particulièrement injuste [15]. Economique, l'accord prévoit aussi des clauses militaires; toute agression contre l'un des États doit être considérée comme agression contre tous les autres États. Les différents gouvernements (gouvernement Merbah de 1988 à 1989, Hamrouche de 1989 à 1991 et Ghozali de 1991 à 1992) s’engagent dans la libéralisation de l’économie en libérant les prix, en restreignant l’activité des monopoles à l’importation, en procédant à une importante dévaluation du dinar (plus de 50 %) [30]. Dès 1973, Boumédiène avait organisé avec succès le Sommet des non-alignés à Alger, qui offrait alors son soutien aux différents mouvements de libération nationale (soutien au MPLA angolais, au PAIGC d'Amilcar Cabral, à la Zanu-PF ou encore à l'ANC sud-africaine [21]). Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Note : les tableaux ci-dessous montrent les dates de mandats avec les gouvernements respectifs des chefs d'État. Une nouvelle constitution approuvée par référendum en février 1989 marque une rupture en instaurant pour la tenue des élections le multipartisme et un régime de liberté de la presse. Madame Boudjemaa Dalila : ministre de l'environnement et de l'aménagement du territoire. Il continue le programme de nationalisations entamé sous Ben Bella (création de la Sonatrach en 1963), avec la nationalisation du secteur minier et bancaire (1966), celle du secteur de distribution des produits pétroliers (1967), et enfin le lancement du pré-plan triennal (1966 –1969) en vue de la mise en place des moyens matériels pour la réalisation des futurs plans (plan quadriennal de 1970-1973), et la nationalisation du secteur amont des hydrocarbures (1971). Chef d'État le plus jeune au moment de sa nomination : Chef d'État le plus vieux au moment de son élection : La dernière modification de cette page a été faite le 15 octobre 2020 à 20:54. Entre 2018 et 2019, la population ainsi que les médias privés se doutaient et s'attendait à une candidature du président Bouteflika, malgré le doute et l' affaiblissement de sa santé depuis son dernier AVC en 2013. Parmi les chantiers ouverts à la faveur de ce plan, il y a l'engagement de construire un million de logements avant la fin du mandat en cours, ainsi que l'effacement de la dette extérieure qui constitue un réel fardeau pour l'économie algérienne, et enfin la réduction du taux de chômage, qui s'élevait en 2005 à plus de 30 % [42]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dominique de Villepin reçu par Bouteflika et Ouyahia », Louisa Hanoune dénonce la fraude et les dépassements, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Histoire_de_l%27Algérie_depuis_1962&oldid=178435083, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article avec une section vide ou incomplète, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. La corruption affecte aussi lourdement le régime Chadli, à la faveur duquel beaucoup d'hommes écartés sous Boumediene reviennent, tandis que l'affairisme et le trabendo se développent. On note aussi de nombreux limogeages dans le milieu militaire très proche du "clan Bouteflika", des généraux, des ministres opposés à sa politique (Abdelmadjid Tebboune en est le parfait exemple, nommé ministre en mai 2017 et viré en août suivant, seulement trois mois après sa prise de fonction) ou encore dans les entreprises étatiques tels que la Sonatrach. Le taux de croissance est de 7,5 % en moyenne de 1967 à 1973 [17], tandis que l'emploi est doublé dans la décennie 1965-1975 [18]. En juin 1990, le Front islamique du salut (FIS) remporte les élections municipales. Un des chefs historiques de la guerre d'Algérie et fondateur du FLN, il souhaitait une Algérie démocratique tournée vers la modernité, et disait vouloir mettre fin à la corruption qui gangrenait l'État. Le gouvernement Ben Bella inclut Houari Boumédiène en tant que ministre de la Défense et vice-président du Conseil, poste qu'il partage avec Saïd Mohammedi (qui sera écarté plus tard par Boumédiène et rejoindra le FIS à la fin des années 1980), et Rabah Bitat (qui deviendra ministre d'État sous Boumédiène). Les proches de l’ancien président, Abdelaziz Bouteflika, tombent un à un. Dans une allusion implicite au conflit sahraoui, les États promettent de ne pas soutenir ni tolérer les activités d'organisations posant un problème de sécurité nationale aux autres États de l'Union. Mais en février 2019, la gronde de la population était devenue forte et de nombreuses personnes ont fait des appels sur les réseaux sociaux à manifester et à sortir dans la rue pour s'opposer à Bouteflika et sa "clique", bradant l'interdiction de manifester en plein Alger depuis 2001. le 19 février, un portrait géant de Bouteflika situé au siège de la wilaya de Khenchela est arraché par des manifestants. Ahmed Ben Bella et Houari Boumédiène, aidés par la Wilaya I (Aurès), la Wilaya II (Constantinois), la Wilaya V (Oranie), la Wilaya VI (Sud), font la guerre contre Mohamed Boudiaf et Krim Belkacem de la Wilaya (III) et (IV)[4]. La proposition est toutefois rejetée par plusieurs partis, dont le RND et le RCD. Abdeslam, dont l'action économique a pu être sévèrement critiquée [25], réussit souvent à éclipser la direction du Plan. 1516: Ministère de l'énergie et des mines. Le 2 avril 2019, sous la pression de manifestations populaires de masse, et à l'invitation du général Ahmed Gaïd Salah, chef d'État-Major de l'Armée nationale populaire, Bouteflika démissionne. Des élections municipales sont programmées. Mohammed Charfi: ministre de la Justice, garde des sceaux. Pendant la période, de nombreux massacres sont commandités aux portes d'Alger (massacres de Raïs (en), Bentalha et Ramka, avec plus de 1000 morts civils exécutés, semble-t-il, par le GIA). Le Front de libération nationale (FLN), quoique dominé militairement[1], sort vainqueur politique de la guerre[2], à la fois contre les partisans de l'Algérie française et contre ses rivaux, et parvient alors au pouvoir. L'élection présidentielle algérienne de 2014 se tient le 17 avril 2014 en Algérie. ... à des Algériens dans la banlieue est d'Alger. Les dates de la dernière ligne (« mandat électoral ») font référence à la date des élections (s'il y en a eu), qui ont validé le mandat. Tayeb Louh : ministre de la justice. « L’« ennemi algérien » de la France : le GSPC ou les services secrets des généraux ? Le président sortant, Abdelaziz Bouteflika, affaibli par des problèmes de santé, est réélu pour un quatrième mandat dans un contexte de doutes sur sa capacité à gouverner le pays. En 1996, l'assassinat des moines de Tibhirine, attribué au GIA, soulève l'indignation de l'opinion internationale. Partisan de l'égalité des femmes, il tente d'interdire la polygamie et encourage la scolarisation des filles ainsi que la mixité scolaire [22]. Ministre de la Reconstruction et des Travaux Publics et du Transport, dans le premier Gouvernement Ben Bella, le 27 septembre 1962. Les groupes armés menaient alors ce qu'ils appellent le Jihad (guerre sainte). En octobre 1963, l'Algérie entre en guerre avec le Maroc : c'est la « guerre des sables », qui prend fin grâce à une médiation de l'Organisation de l'unité africaine. Au fil des générations depuis 1962, la rumeur publique a accusé tour à tour «hizb frança» (parti de la France), les DAF (déserteurs de l'armée ... 132 dossiers et une liste de … Ben Bella est contraint de demander 40 milliards au gouvernement français[8]. C'est par le canal du Ministère de l'Intérieur que transitaient différentes réformes importantes (décentralisation, réforme agraire, nouveaux villages « socialistes », modernisation des villes[23]…). Le CEDEF met à jour une liste des ministres en charge des finances depuis janvier 1959 et propose des ressources complémentaires pour élargir vos recherches. Le président de la République a nommé, jeudi, les membres du nouveau gouvernement, conduit par le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, a indiqué un communiqué de la présidence de la République, dont voici le texte intégral : “Conformément à l’article 93 de la Constitution, et après consultation du Premier ministre, son Excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président […] depuis le 12 novembre 2008 : Premier ministre. Mais le début du mandat est perturbé par la pandémie de Covid-19. Secrétaire général puis président du Front de libération nationale. En 1983, c'est aussi le premier chef d'État algérien à être invité à Paris, par François Mitterrand. Deuxième partie (Prenez le temps de lire S.V.P) (ATTENTION, certaines images peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties.A tous ceux… qui ne croient pas aux massacres de Harkis après le Premier juillet 1962 (Quelques extraits, concernant uniquement les harkis accrochez-vous). Le vote de la loi du 23 février 2005 sur la colonisation, par la majorité UMP sous le gouvernement Raffarin, attise les colères en Algérie, ouvrant une crise diplomatique entre les deux pays. La démocratisation du régime dans les années 1980, sous Chadli Bendjedid et à la suite d'importants mouvements de protestation, s'achève brutalement avec le début de la guerre civile en 1991. Sur le plan institutionnel, une Charte et une Constitution sont adoptées. Du côté de la Libye, les relations entre Alger et Tripoli sont plus cordiales, du moins jusqu'à un refroidissement dans les années 1980, à la suite de l'accord de 1983 entre le Maroc et la Libye. Entre les dinosaures (Ben Bouzid est ministre depuis 1993 ou mazal al khir) et le jeu des chaises musicales, j'ai du mal à voir autant de monde en 50 ans d'indépendance Oui, biensur qu'on a eu autant de ministres depuis l'indépendance. Président de l’Organisation de l’Union africaine. 5 juillet 1962 : indépendance de l’Algérie. 1647: Ministère de la poste et des TIC. 1476: Ministère de l'éducation nationale. Jean-Jacques Jordi, « À propos des Harkis » in, Anne Liskenne, L'Algérie indépendante, Armand Colin, 2015, p.55, John Kiser (trad. Douze ans plus tard, la presse évoquera la possibilité d'une bavure des services de renseignement algériens, camouflée en attentat du GIA [38], [39]. », VALLUY, Jérôme, « Algérie, Libye, Maroc: des camps européens au Maghreb », in, CAMBREZY Mélanie, Le Codéveloppement : de la pratique à la politique. Le président Bouteflika refuse alors de signer le traité d'amitié en préparation avec la France. Les illusions perdues, Chronologie d’une affaire étouffée par deux raisons d’état, Perspective de coopération dans le nucléaire civil, Le pays se dotera de sa première centrale nucléaire en 2020. Historique. 1411: Ministère de la formation et de l'enseignement professionnel. Face au Printemps berbère de 1980, puis aux émeutes de Constantine en 1986, il réagit par la répression. Le pouvoir doit aussi faire face aux premiers mouvements populaires depuis l'indépendance. États reconnus par aucun membre des Nations unies. Le 25 juin 1998, le chanteur populaire berbère Matoub Lounès est assassiné sur une route de Kabylie. Mais l'Algérie est frappée par la crise économique, l'affairisme et la corruption, ouvrant une « décennie noire » qui fera le lit de l'islamisme. Néanmoins, la réforme agraire mise en place par Amar Ouzegane, « improvisée et désorganisée », déçoit par ses mauvais rendements et la casse importante de tracteurs qu'elle occasionne[5]. En 2009, le ministre de l'Énergie et des Mines Chakib Khelil annonçait ainsi que la première centrale nucléaire serait prête en 2020 [35]. Détails. En raison du conflit persistant concernant le Sahara occidental, et qui donne lieu à la Marche verte en 1975, l'Algérie soutenant le Front Polisario, le Maroc retarde cependant la ratification de ce traité jusqu'en 1989. Un « accord de coopération en matière de sécurité et de lutte contre la criminalité organisée » est signé le 25 octobre 2003 entre Paris et Alger. La chanson est devenue le symbole du Hirak de 2019. Projet de charte pour la paix et la réconciliation nationale : pas d’impunité au nom de la « réconciliation » ! Le FIS est officiellement dissous la même année. En décembre 1968, Bouteflika avait négocié au nom de la République algérienne l'accord franco-algérien sur l'émigration (à la fin des années 1960, Boumédiène instaure aussi une autorisation de sortie nécessaire pour se rendre à l'étranger [21]). Plus on nous demandera de contrôler les flux migratoires clandestins, plus notre marge de manœuvre sera importante ». La même année, le Mouvement pour la démocratie en Algérie (MDA) de Ben Bella passe un accord avec le Front des forces socialistes (FFS), en partie grâce aux efforts d'Ali André Mécili [33]. Né en 1906, il est originaire de Béni Yeni – Tizi Ouzou. De nombreux projets industriels sont mis en route, aussi bien dans l'industrie lourde que dans l'industrie légère (textile, mécanique, agro-alimentaire, bois, etc.) Des manifestations anti-Bouteflika ont lieu dans tout le pays, mais sont rapidement réprimés et n'ont pas réellement d'écho dans la population. 1963 : Ahmed Ben Bella est élu président. L'Algérie connait une grave crise comme le reste du monde entier à cause de la pandémie de Covid-19. Les relations avec le Maroc s'améliorent alors, un traité entre Boumédiène et Hassan II, signé en 1972, définissant les frontières communes. Les décrets de naturalisation étaient publiés dans la Partie supplémentaire du Bulletin des lois en cours de numérisation (actuellement jusqu'à 1871).. En libre-accès salle O [cote: 348.44 BULL] Version papier. Les militaires, sans accaparer tous les pouvoirs, contrôleront le pays pendant plusieurs décennies à travers la sélection de ses dirigeants et se réserveront les décisions en matière de répartition des budgets[11]. » [36]. Après son arrestation aux côtés de Mohamed Harbi, ex-conseiller de Ben Bella qui deviendra finalement professeur en France, Bachir Hadj Ali fonde le Parti de l'avant-garde socialiste (PAGS), qui succède au Parti communiste interdit sous Ben Bella, et qui sera dirigé par Sadek Hadjerès. De 1962 à 1977, le chef du gouvernement (ou le président de la République de 1963 à 1965) a également exercé les fonctions de président du Conseil des ministres. En janvier 1992, l'armée, qui continue à tenir les rênes du pouvoir, obtient la démission de Chadli Bendjedid, remplacé par un Haut Comité d'État. Paris 1, oct. 2007. depuis le 12 novembre 2008 : Premier ministre. Pendant l'ère Boumédiène, plusieurs personnalités algériennes meurent, dont Krim Belkacem en 1970 et Messali Hadj qui meurt aussi en 1974, en France, et est inhumé à Tlemcen. Paris, 21 juin 2002 – La liste du nouveau gouvernement, commentée par Algeria Interface. Liamine Zeroual lui succède le 30 janvier 1994. Il fait aussi emprisonner en 2004 le journaliste Mohamed Benchicou, directeur du quotidien d'opposition Le Matin et auteur d'une biographie intitulée Bouteflika : une imposture algérienne (2004), qui est libéré après une peine de deux ans. Trois partis, le Front de libération nationale (FLN), le Rassemblement national démocratique (RND) et le Mouvement de la société pour la paix (MSP) demeurent au gouvernement. M. Boudiaf et A. Kafi ne furent jamais élus présidents de la République en titre, parce qu'ils ont exercé la fonction de «président du HCE» en charge provisoire des pouvoirs de chef de l'État. À l'issue du Printemps noir, plus de 100 morts et 5 000 blessés sont à déplorer. La version du 17 juin 2013 de cet article a été reconnue comme «, Gouvernement provisoire de la République algérienne (1958-1962), République algérienne démocratique et populaire (depuis 1962), Il achève les négociations avec la France commencées par le gouvernement Ferhat Abbas et proclame le cessez-le-feu, la veille du 19 mars 1962, Il est forcé à la démission et mis en résidence surveillée à, Il donne plus de pouvoir aux technocrates, et mène une politique de planification de l'économie et la bureaucratie de l'État, il nationalise les hydrocarbures en, Le Conseil constitutionnel qui a reçu la lettre de démission le jour même constate la vacance définitive de la présidence de la République mais le président du Conseil ne peut assumer la charge de chef de l'État comme le prévoit l'article 84 de la constitution de 1989, car celle-ci n’a pas prévu dans ses dispositions le cas de conjonction de vacances de l’Assemblée populaire nationale par dissolution et de la présidence de la République par démission mais en cas de décès seulement, Mohamed Boudiaf prend la présidence du Haut Comité d'État, Élu quatrième président de la République algérienne démocratique et populaire, le 16 novembre 1995 avec 61,3 % des voix. Les revendications nationales, sociales et culturelles donnent naissance à un slogan politique : Tahya el Djazaïr, « vive l'Algérie ». En octobre 1985, l'acquittement par le Tribunal militaire de Rachid Zeggar, un ami proche de Boumediene, soulève l'indignation dans le pays [32]. Une campagne électorale très engagée est enregistrée entre ces deux candidats, et le suspense entretenu par les médias tant nationaux qu'internationaux, est perceptible jusqu'au dernier jour des élections. Par Ahmed Rouadjia. Pendant les mois de mars et avril 2009, la campagne électorale pour la présidentielle se déclenche à la suite d'un nouvel amendement constitutionnel. Au terme de plusieurs années de gestion autocratique des affaires de l’État, le président Chadli, soucieux de pacifier toutes les franges du pouvoir et du peuple en vue d'un changement, lance à partir de l’année 1988 l’Algérie dans un processus de démocratisation. Enfin, l'Algérie participe en février 1989 à la fondation de l'Union du Maghreb arabe, avec la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie. Bien que les relations soient tendues avec la France, elles ne cessent jamais complètement, et l'immigration de travailleurs algériens en France continue. Le président de la République algérienne, Abdelaziz Bouteflika, vient de nommer les membres du gouvernement chapeauté par le nouveau premier ministre Ahmed Ouyahia. Plusieurs candidats sont validés par le Conseil constitutionnel pour l'élection présidentielle du 9 avril 2009[55]: On est loin du renouvellement exigé par le mouvement de contestation inédit (Hirak), qui réclamait le démantèlement du «système» dirigeant l'Algérie depuis son indépendance en 1962. De 1963 à 1966, la France fait quatre essais atmosphériques et treize essais nucléaire sous terre à Reggane[10], dans le Sahara algérien. Les présidents et Gouvernements Algériens de 1962 à 2019 رؤساء الجزائر و رؤساء الحكومات و وزراؤهم منذ الإستقلال ... un nouveau ministre des affaires étrangères en lieu et place du chef du gouvernement qui assurait l'intérim depuis l'assassinat de Mohamed Khemisti.

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